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Le retour de la chaleur au mois de Juin est souvent synonyme de jambes lourdes


Plusieurs plantes peuvent soulager les jambes lourdes en améliorant la circulation sanguine et en réduisant l'inflammation. Voici quelques exemples de plantes connues pour leurs propriétés bénéfiques dans ce domaine :

1.       Vigne rouge (Vitis vinifera) : La vigne rouge est souvent utilisée pour améliorer la circulation veineuse. Elle contient des flavonoïdes qui aident à renforcer les parois des vaisseaux sanguins et à réduire l'inflammation.

2.       Marron d'Inde (Aesculus hippocastanum) : Les extraits de marron d'Inde sont couramment utilisés pour soulager les symptômes des jambes lourdes. Cette plante contient de l'escine, un composé qui aide à réduire l'enflure, à renforcer les veines et à améliorer la circulation.

3.       Hamamélis (Hamamelis virginiana) : L'hamamélis est connu pour ses propriétés astringentes et anti-inflammatoires. Elle peut aider à réduire la douleur et l'enflure des jambes lourdes.


4.       Menthe poivrée (Mentha piperita) : La menthe poivrée a un effet rafraîchissant et stimulant qui peut aider à soulager la sensation de lourdeur dans les jambes. Elle peut être utilisée sous forme d'huile essentielle pour un massage ou en infusion pour une consommation interne.


5.       Le Mélilot (Melilotus officinalis) est une plante qui est souvent utilisée pour soutenir la circulation sanguine. Il contient des coumarines, notamment la coumarine et la mélatonine, qui ont des effets anticoagulants et vasodilatateurs.

Il est important de noter que chaque personne peut réagir différemment aux plantes, et il est recommandé de consulter un professionnel de santé avant d'utiliser des plantes médicinales, surtout si vous avez des problèmes de santé sous-jacents ou si vous prenez d'autres médicaments.


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Rédigé le  8 juin 2023 18:38  -  Lien permanent
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le Silicium source de vitalité


Savez-vous que le corps humain contient 7 g de Silicium, ce qui en fait l’oligoélément le plus important de l’organisme et essentiel pour son bon fonctionnement. Bien qu’on l’ignore le plus souvent , il devance le Fer, le Zinc ou le Cuivre.

Précurseur de la synthèse du collagène, il assure le maintien de l’intégrité de la trame collagène de la plupart des tissus organiques, osseux et conjonctifs.

Avec l’âge, la teneur en Silicium baisse probablement en raison d’une moins bonne assimilation. Ce phénomène de baisse de laconcentration en Silicium s’observe dès 45 ans et s‘accentue avec le vieillissement.On estime à 40% la baisse du taux de silicium à 55 ans entrainant unealteration lente mais progressive des fibres collagènes fragilisant des tissusqu’elles soutiennent. Les conséquences peuvent se faire sentir sur lesarticulations, les vaisseaux sanguins, la peau , les muscles et les tendons.

La baisse naturelle liée au vieillissement, de la teneur en Silicium peut être compensée par des apports alimentaires ciblés, des extraits végétaux riches en Silicium organique végétal comme le bambou , la prêle ou l’ortie mais aussi par un apport en Silicium organique (monométhylsilanetriol).

Par son action régénérante, le Silicium organique permet de retarder les effets du vieillissement.

Au travers de sa marque Labosantésilice, spécialiste Français du Silicium, Laboratoire Dioter offre une gamme complète de Produits Naturels de Santé à base de Silicium à retrouver ici : https://www.labodioter.com/labo-sante-silice-c102x4051955

Rédigé le  13 juillet 2021 17:27  -  Lien permanent
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UNE APPROCHE NUTRITIONNELLE DE LA MENOPAUSE

Une approche nutritionnelle du syndrome prémenstruel et de la ménopause
1. Le syndrome prémenstruel
Environ 16 femmes en période ovarienne sur 100  consultent pour des troubles liés au syndrome prémenstruel mais on estime qu’il y en a autant qui ne consultent pas malgré des symptômes physiques et/ou émotionnels récurrents.  
Les signes physiques les plus courants sont des tensions douloureuses au niveau des seins, des ballonnements, des maux de tête etc…
Les signes émotionnels les plus courants sont l’irritabilité, la nervosité, l’anxiété, la sensation de fatigue.
Les causes du syndrome prémenstruel sont multiples et restent assez mal connues. Dans de nombreux cas, il semble toutefois que l’on puisse associer le syndrome prémenstruel à une déficience en prostaglandine E1 (PGE1). Celle-ci joue un rôle spécifique dans la régulation des hormones sexuelles ainsi que la fluidification du sang et la dilatation des vaisseaux sanguins.
Ces prostaglandines exerceraient ainsi une régulation du cycle menstruel. On observe en deuxième partie de cycle une fluctuation hormonale avec baisse de la sécrétion d’œstrogène et hausse de la progestérone puis à nouveau baisse de la progestérone. En stimulant la production de progestérone, la PGE1 corrigerait le déséquilibre hormonal à l’origine du syndrome prémenstruel.
Les prostaglandines sont naturellement formées dans l’organisme à partir des acides gras essentiels de la série oméga 6.
Un déficit relatif en acides gamma-linolénique pourrait entraîner un déficit en prostaglandine E1 et induire les symptômes en raison d’un déséquilibre hormonal.
L’apport en oméga 6 est généralement correct dans le cadre d’une alimentation équilibrée, toutefois dans le cas du syndrome prémenstruel, un apport nutritionnel complémentaire peut s’avérer pertinent pour assurer la production de PGE1.
Ceci étant posé, il importe de prendre en compte la compétition enzymatique entre oméga 6 et oméga 3 lorsqu’ils sont métabolisés et le déficit fréquent en oméga3 qui induit un ratio défavorable. Il est donc important d’apporter des oméga 3 en parallèle de l’oméga 6 dans un ratio optimal de 4 oméga 6 pour un oméga 3.
L’apport d’Omega 3 permet en outre une meilleure fluidité sanguine et une baisse des phénomènes inflammatoires.
Un apport équilibré en GLA (omega6) et EPA DHA(oméga3)  constitue alors une bonne stratégie nutritionnelle dans le cas de syndrome prémenstruel.
2. La pré ménopause et la ménopause
La pré ménopause est une période de durée variable selon les femmes durant laquelle s’installe une irrégularité du cycle féminin et une baisse progressive de la production d’hormones et de l’activité des organes reproducteurs. C’est la production de progestérone qui commence à baisser en premier entrainant un déséquilibre entre œstrogène et progestérone. Ce déséquilibre pouvant être assimilé à une hyper-oestrogénie peut induire des troubles physiques et émotionnels comparables à ceux du syndrome prémenstruel  et on peut s’interroger sur le rôle des prostaglandines E1 pendant cette période. L’arrêt définitif de la production d’hormones est un long processus et il peut y avoir plusieurs années entre la baisse de la progestérone et la baisse des œstrogènes. On observe même une forte hausse de la production des œstrogènes avant la baisse inéluctable renforçant le « déréglage biologique ». La baisse progressive de la production d’œstrogènes constitue la phase de péri ménopause avec des perturbations souvent observées tel que la prise de poids modérée (2 à 3 kg) et l’apparition de bouffées de chaleur.
Pour des raisons proches de celles du syndrome prémenstruel, une stratégie nutritionnelle incluant des apports équilibrés en omega6 et omega3 s’avère souvent pertinente.
La ménopause s’installe ensuite et les femmes réagissent de façon très différente tant sur le plan physique qu’émotionnel. Toutefois, on estime que plus de 70% sont sujettes à des bouffées de chaleur plus ou moins fréquentes et intenses. Les bouffées de chaleur sont des manifestations vasomotrices induites vraisemblablement par les variations hormonales qui entraineraient des changements dans la synthèse de neurotransmetteurs « trompant » alors le système nerveux central et laissant penser à un échauffement soudain entrainant les bouffées de chaleur. Il y a donc perturbation du système de thermorégulation.
Certains chercheurs avancent que l’action des omega3 sur les taux de certains neurotransmetteurs comme la sérotonine et la noradrénaline, pourrait chez la femme ménopausée réduire les bouffées de chaleur mais aussi sur les troubles de l’humeur.
La stratégie nutritionnelle visant à faire un apport équilibré entre EPA, DHA et GLA constitue ainsi un axe intéressant pour le bien être des femmes ménopausées.
3. Les sources d’omega3 et d’omega6
Sources d’acides gras oméga-3  
Sources végétales
L'huile et les graines de lin
L'huile et les graines de chanvre
Les graines de chia
L'huile et les graines de citrouille
microalgues
Sources marines
Les huiles de poisson
L'huile de krill
Sources d’acides gras oméga-6  
L'huile de bourrache
L'huile d'onagre
La spiruline
L'huile de cassis
L'acide linoléique conjugué
L'huile et les graines de chanvre
Rédigé le  4 mai 2021 12:00  -  Lien permanent
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UN SOMMEIL DE QUALITE GRACE AUX PLANTES

UN SOMMEIL DE QUALITE GRACE AUX PLANTES


Le sommeil régit notre vie,il est indispensable à chacun car il est le secret d’un développement physique,physiologique et psychologique harmonieux.

En somme, bien dormir, c’est bien vivre.

Les troubles du sommeil qui atteignent certains d’entre nous sont heureusementsouvent passagers et pour bien dormir, il faut tout d’abord appliquerquelques règles de base :

  • Avoir un rythme de sommeil régulier : se lever et se coucher à heure fixe
  • Avoir une bonne dose de luminosité la journée (ne pas vivre dans le noir)
  • Pratiquer une activité physique régulière mais jamais après 20h00
  • Eviter les repas trop copieux le soir, et les excitants (alcool, café…)
  • Se relaxer avant de se coucher (lire, boire une tisane…)
  • Guetter les signes du sommeil avant de se coucher (bâillements, yeux qui piquent…)
  • Se rafraîchir et rafraîchir la chambre où l’on dort (18° est une température idéale)
  • Faire en sorte d’être au calme, sans bruit pour ne pas être dérangé

Une fois ces conseils appliqués, unegrande partie du travail est faite et votre sommeil sera largement favorisé.

Stop aux somnifères, qui plombent notre corps d’un mauvais sommeil, les méthodes douces sont généralement bien plus bénéfiques, variées, et évitent les dépendances!


On sait depuis toujours que plusieurs plantes apportent le calme et la sérénité pour aider à passer une nuit sans encombre.
Qui ne s’est jamais concocté une petite tisane de tilleul, de verveine ou de camomille avant de se coucher ?

Certaines plantes ou fleurs ont en effet des propriétés intéressantes pour notre organisme et l’on aurait tort de s’en priver.
Alors tentons-les, testons-les et nous ne nous sentirons que mieux !

Parmi ces trésors, on trouve en plus du tilleul, de la verveine ou de la camomille, la passiflore,  le houblon, la fleur d’oranger ou encore la valériane, connue pour son effet calmant et l'aubépine, qui régule le rythme cardiaque.

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Rédigé le  1 mai 2021 12:00 dans Bien dans son corpsBien dans sa tête  -  Lien permanent
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LES SOLUTIONS NATURELLES POUR RECONSTITUER SA FLORE INTESTINALE: PROBIOTIQUE ET OMÉGA 3

LES SOLUTIONS NATURELLES POUR RECONSTITUER SA FLORE INTESTINALE: PROBIOTIQUE ET OMÉGA 3
Notre système digestif dénombre plus de 100 000 milliards de bactéries et levures qui constituent notre microbiote. Il existe une véritable symbiose entre notre organisme et cette flore intestinale. Ces organismes vivants permettent la digestion des aliments et l'absorption des nutriments. Mais ils jouent également un rôle majeur dans le système immunitaire. En tapissant les cellules intestinales, ils les protègent des micro organismes pathogènes. Toutefois, l'équilibre de cet écosystème est très fragile. Avec notre alimentation moderne et notre mode de vie actuel, il faut prendre plus soin de son microbiome ! Parfois, il est nécessaire de reconstituer sa flore intestinale.
Comment reconstituer sa flore intestinale naturellement ?
De nombreux facteurs peuvent engendrer une dysbiose intestinale, à savoir un déséquilibre de la flore microbienne comme le stress, une mauvaise alimentation, la prise d'antibiotiques, la pratique régulière d'un sport intensif, certains traitements ou médicaments,...  Les probiotiques et les prébiotiques permettent de nourrir cette microflore. Mais d'autres nutriments comme les oméga 3 peuvent aussi aider à restaurer sa flore intestinale.
Probiotiques
Les probiotiques sont des bactéries et des levures présentes dans certains aliments fermentés comme les yaourts, certains fromages, le chou cuit, les cornichons, le kéfir, le kombucha, les dérivés du soja.... En effet, la fermentation enrichit les aliments en ferments lactiques.
Malheureusement, notre alimentation courante n'est pas suffisamment riche en ferments lactiques. Avoir recours à des compléments alimentaires à base de probiotiques est alors une alternative notamment en cas de dysbiose. Effectivement, ils contribuent à maintenir et à restaurer cet écosystème. Les Lactobacilles et les Bifidobactéries constituent les souches les plus communes et utilisées pour reconstituer sa flore intestinale.
Prébiotiques
Quant aux prébiotiques, ils correspondent à des fibres dont l'être humain est dans l'incapacité de les digérer. Par contre, les bactéries probiotiques en sont friands ! Les prébiotiques comme l'inuline, les fructo-oligosaccharides et les galacto-oligosaccharides contribuent au transit intestinal.
Ils sont naturellement présents dans les fruits et les légumes (artichaut, asperges, bananes, ail, poireaux, oignons, tomates...). Certaines céréales en contiennent également comme l'orge et le seigle.
C'est pourquoi, les probiotiques sous forme de gélules, de sachets de poudre ou de capsules molles sont souvent combinés à des prébiotiques. Ce duo d'actifs permet une meilleure croissance des bactéries au niveau du côlon.
Oméga 3
Les oméga 3 sont souvent peu cités mais des travaux scientifiques récents mettent en avant qu'ils jouent aussi un rôle clé dans l'équilibre de la flore intestinale. En effet, l'alimentation a un impact direct sur la composition de cette flore. Et consommer des oméga 3 dans le cadre d'un régime alimentaire équilibré peut améliorer la biodiversité du microbiote, selon des chercheurs de la School of Medicine de Nottingham. Ces travaux ont montré que les femmes qui avaient consommé le plus d'oméga 3 présentaient une concentration sanguine plus élevée en EPA et DHA. En parallèle, elles avaient également un microbiome plus varié.
Dans un autre article paru dans la revue Cell metabolism, des chercheurs mettent en évidence que les bactéries dans les intestins participent aux bienfaits des huiles de poissons riches en oméga 3.
Enfin, une étude récente démontre aussi les effets bénéfiques d'une supplémentation en oméga 3 sur le déséquilibre du microbiote intestinal induit par une chimio ou radiothérapie. Ces acides gras essentiels permettaient aux patients de retrouver une harmonie bactérienne dans l’intestin. Ils favorisaient la prolifération de certaines bonnes bactéries et réduisaient la colonisation de bactéries néfastes.
Une combinaison gagnante pour prendre soin de son microbiote
Les bactéries probiotiques, les prébiotiques et les oméga 3 jouent en faveur d'une bonne santé intestinale ! L’association des oméga 3 avec les probiotiques est intéressante d’un point de vue physiologique et nutritionnel pour favoriser la digestion. Une supplémentation en probiotiques et oméga 3 est alors bénéfique pour son équilibre intestinal.

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Sources :
* Omega-3 fatty acids correlate with gut microbiome diversity and production of N-carbamylglutamate in middle aged and elderly women - Cristina Menni et al. - Scientific Reports 7, Article number: 11079 (2017)
* Robert Caesar, Valentina Tremaroli, Petia Kovatcheva-Datchary, Patrice D. Cani, Fredrik Bäckhed, Crosstalk between Gut Microbiota and Dietary Lipids Aggravates WAT Inflammation through TLR Signaling, Cell Metabolism, 27 août 2015, ISSN 1550-4131. DOI: 10.1016/j.cmet.2015.07.026
* Yue Zhang Boyan Zhang Lihua Dong Pengyu Chang. Potential of Omega-3 Polyunsaturated Fatty Acids in Managing Chemotherapy- or Radiotherapy-Related Intestinal Microbial Dysbiosis. Advances in Nutrition, Volume 10, Issue 1, January 2019, Pages 133–147.

Rédigé le  30 avril 2021 12:00 dans Bien dans son corpsA chacun son omega  -  Lien permanent
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COMMENT AMÉLIORER SA MÉMOIRE ET SA CONCENTRATION ?

COMMENT AMÉLIORER SA MÉMOIRE ET SA CONCENTRATION ?

"Avoir une mémoire de poisson rouge” ou encore "avoir une mémoire d’éléphant” : autant d’expressions de la vie courante qui évoquent la mémoire. Et pour cause ! La mémoire est une des facultés de notre cerveau les plus indispensable. Elle permet de construire notre identité et de faire qui nous sommes.

Souvent la mémoire est associée à la concentration. Or, parfois, notre concentration peut nous faire défaut à cause de sollicitations extérieures, d’une petite forme physique ou encore d’une mauvaise hygiène de vie.

Aujourd’hui, nous vous expliquons donc ce qu’est la mémoire et la concentration mais surtout, comment en prendre soin et les améliorer !

La mémoire, une question de concentration ?

La mémoire est "la faculté de conserver et de (se) rappeler des choses passées et ce qui s’y trouve associé”(1). 

Il existe quatre types de mémoires, qui fonctionnent à court ou long terme : la mémoire à court-terme, la mémoire épisodique, la mémoire sémantique et la mémoire procédurale. Chacune possède une spécificité.

La concentration quant à elle peut-être expliquée par l’effort par lequel, à un instant T, on applique nos facultés sur un objet déterminé. 

Alors, en quoi la mémoire et la concentration sont-elles liées ? Le processus de mémorisation est en fait conditionné par la capacité à se concentrer. En effet, si nous avons des difficultés à nous concentrer, il est alors peu probable de mémoriser efficacement…

Par chance, si vous estimez avoir des problèmes de perte de mémoire et de concentration, il existe des techniques de mémorisation pour les résoudre ! De plus, quelques conseils peuvent grandement vous aider.

Une bonne hygiène de vie pour améliorer sa mémoire ?

Le cerveau est un organe en perpétuelle évolution et il est possible de le faire travailler tout au long de sa vie ! Ainsi, la stimulation intellectuelle, le travail de mémoire et l’apprentissage peuvent augmenter le nombre de connexions entre les neurones.

En résumé, faites donc travailler votre mémoire ! Des exercices tels que le sudoku ou les mots croisés sont parfaitement indiqués. De plus, ils présentent l’avantage de vous poser un moment pour vous concentrer.

Car à l’heure actuelle, il est rare d’avoir des moments où nous nous concentrons à 100% sans sollicitation extérieure comme les écrans (télévision ou smartphone par exemple). Or, la sur-sollicitation est très mauvaise pour la concentration. 

C’est d’ailleurs pour cette raison que les spécialistes déconseillent aux enfants de moins de 3 ans d’être exposés aux écrans, période cruciale pour le développement de leur cerveau.

Faire travailler son cerveau pour améliorer sa mémoire et sa concentration ne veut pas dire être hyperactif ! Au contraire puisque l’ennui est bon pour le cerveau, ce dernier a besoin de rêvasser pour se construire. L’ennui aiguise en quelque sorte l’imagination et l’ingéniosité. Pratiquer des activités comme la relaxation ou le coloriage est particulièrement indiqué pour "libérer” son cerveau. 

De plus, le sommeil est indispensable au processus de mémorisation. C’est pendant votre sommeil que le cerveau assimile les informations mémorisées au cours de la journée. Trouvez donc des alternatives naturelles aux somnifères telle que la mélatonine par exemple.

Pour finir, le cerveau se fatigue plus rapidement si vous n’avez pas une hygiène de vie correcte. Puisque le stress est l’ennemi numéro 1 de la mémoire et de la concentration, pratiquez une activité régulière pour le combattre !

Surveillez également votre alimentation car elle joue un rôle primordial sur la mémoire.

Le rôle de l’alimentation et des Oméga-3 pour la mémoire et la concentration ?

N’avez-vous jamais entendu plus jeune que le poisson est bon pour la mémoire ? Est-ce vraiment une idée reçue ?

Si l’on part du principe que le poisson, notamment les poissons gras, contiennent des acides gras Oméga-3 DHA et que ces derniers sont indispensables pour le développement du cerveau ; il ne s’agit pas d’une idée reçue…

Ainsi, nous l’évoquions plus haut, dans le cerveau, les informations circulent sous forme de messages électriques de neurones en neurones, appelés influx nerveux. Ce sont les fameuses connexions neuronales !

Si vous souhaitez protéger et entretenir vos neurones, consommer des Oméga-3 est particulièrement indiqué. De plus, des études canadiennes ont démontré que les Oméga-3 peuvent prévenir et limiter l’évolution de maladies dégénératives telles que les maladies de Parkinson ou d’Alzheimer. 

Intégrez plus d’Oméga-3 dans votre alimentation ou pensez à la supplémentation. Associés à l’acide pantothénique (la vitamine B5), les Oméga-3 contribuent contribuent à la bonne vitalité intellectuelle !

Toutefois, si vous ressentez une intense fatigue et une réelle difficulté de mémorisation et/ou de concentration et que ces difficultés persistent, nous vous conseillons de consulter un spécialiste de la santé.

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(1) Définition Google


Rédigé le  29 avril 2021 12:00  -  Lien permanent
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